La pêche aux coquillages et au poulpe

En pêche à pied, les plus nombreux sont les pêcheurs de coquillages et de poulpe.

Pêche à pied à M’tsahara.

La récolte d’une pêche aux coquillages

Fanny Cautain / Office français de la biodiversité

La récolte d’une pêche aux coquillages

Fanny Cautain / Office français de la biodiversité

pêche au poulpe

Une pêcheuse vient de capturer un poulpe à l’aide de son pique en bois.

Camille Lecat / Office français de la biodiversité

Une pêcheuse vient de capturer un poulpe à l’aide de son pique en bois.

Camille Lecat / Office français de la biodiversité

Ils ramassent des bigorneaux comme le trondro mangara en bordure de mer ou le trondro melinboudi à déloger sous les cailloux, et des camaras (chitons). Sur les platiers, ils peuvent aussi ramasser les coudiva (bivalves). Les coquillages sont appréciés et réputés pour leurs vertus médicinales mais aussi pour le plaisir de varier les goûts.

La pêche au puedza (poulpe) se pratique sur les platiers à marée basse. Le poulpe est attrapé en introduisant des piques en bois dans les trous où il se cache afin qu’il s’y accroche. Très prisé à Mayotte, le poulpe est devenu une ressource fragile. Pour permettre le renouvellement de l’espèce et la pérennité de la pêche au poulpe, le Parc accompagne les villages dans la mise en place de zone de repos, fermées temporairement.